Quand Michel rentre du bureau, vers dix sept heures, il trouve Francine, sa ravissante épouse, en larmes.

-Mais…qu’est-ce qu’il t’arrive ma chérie ? C’est quoi qui t’as mis dans cet état ?

-C’est les vielles d’en face, geint Francine. Elles m’ont traités de pute, dise que j’ai un mec.

-A bon, et rassure moi, ce n’est pas le cas ?

-Mais non, mon amour. Tu sais bien que tu es l’amour de ma vie, que je suis fidèle.

-Très bien, poursuit Michel, je prends une douche, et je vais aller les trouver.

Ce que Michel ne sais pas, c’est que très souvent, pendant son absence, Guy, son pire ennemi passe voir son épouse. Ils font l’amour, des heures entières. Et les vielles d’en face, l’entendent crier quand elle jouit.

Guy est un homme très séduisant, avec un tableau de chasse impressionnant, surtout des femmes mariées. La relation qu’il a avec Francine, est toute simple. Il s’est juré de baiser la femme à Michel, pour l’humilier.

Michel sort de la douche entièrement nu. Francine a un petit sourire en voyant ses ridicules attributs. Michel passe un short, et se rend chez les voisines.

Il y a Hélène, Martine et Paulette. Elles ont toutes les trois, pas loin de soixante dix ans.

-Alors, vielles conasses, dit-il, c’est quoi ces bruits que vous faites courir sur ma femme.

-Oh, le calme Hélène, soit poli, d’accord. Ta femme, on l’entend crier d’ici quand elle jouit.

-Je me demande avec qui elle pourrait me tromper. C’est impossible, elle m’aime trop.

• Demande-lui qui c’est ce mec à moustache qui lui rend visite quand tu n’es pas là. Chaque fois qu’elle a un orgasme, elle crie son nom. « Oh oui Guy…Guy, elle est bonne ta queue… »

-C’est faux, répond Michel, elle a horreur de ce mec…on est fâché depuis longtemps.

-En tous cas, dit Paulette, sa chatte est sa bite s’entendent très bien.

-Taisez-vous conasse, vous dites n’importe quoi.

-Hé, oh, un peu de respect, gronde Martine en lui bloquant les bras en arrière. Paulette, quitte-lui son short pour voir.

Hélène éclate de rire en voyant le sexe ridicule de Michel. Elle s’approche, soupèse ses boules…en serrant légèrement.

-Aie…aie…ne serrez pas mes coucous…aie…aie…

-On va jouer avec lui, propose Hélène. Vous savez ce qu’on devrait faire, le raser. Comme ça, on verrat mieux son petit oiseau.

Hélène va de ce pas, cherché la panoplie complète du parfait barbier, qui appartenait à feu son époux. Un bol avec du savon à raser, un rasoir, un vieux blaireau, et de l’après rasage. Elle apporte aussi, un baquet d’eau, un gant de toilette, assez rêche, limite gant de crin.

De sa fenêtre, Francine ne perd rien de la scène. Elle appelle Guy, son amant, pour qu’il vienne assister au spectacle. Il est là dans les cinq minutes qui suivent. Pour ne pas être vu, il se place derrière sa maitresse. Tandis qu’en face, le calvaire de Michel continue.

-Paulette, dit Hélène, attaches-lui les mains dans le dos, et fait le mettre à genoux. Toi, Martine, glisse une main entre se cuisses, et attrape lui sa petite grappe. S’il ne se laisse pas faire, tu serres…essaie pour voir.

-Arrêtez, se plaint Michel, ne me faites pas ça…aie…aie…ne serrez pas, ça fait mal…

A la fenêtre, Francine est toute excitée de voir son mari subir une telle humiliation. Et Guy s’en aperçoit. Lentement, il passe sa main sous la robe de la jeune femme, et lui quitte la culotte. Il fait courir un doigt sur la fente, frotte les lèvres humides. Puis, c’est sa queue qui pénètre la chatte. Francine ne peut retenir un soupir de plaisir.

De l’autre côté du chemin, Hélène, la coiffeuse d’un jour, s’approche avec le blaireau, et barbouille le bas ventre de Michel avec la mousse à raser. Elle commence le rasage. Docile, Michel ne bouge pas, craignant le pire. Martine prend plaisir à faire rouler ses petits œufs entre ses doigts. Puis Hélène demande qu’on l’installe à quatre pattes, pour raser le tour de son petit trou. Paulette, très perverse, en profite pour lui mettre un doigt au cul…puis deux. Michel pousse des petits cris de douleur, quand soudain, sa queue se met en érection.

-Mais c’est qu’il se régale, le salaud, fait remarquer Paulette. Si on lui tapait une branlette.

Chose dit, chose faite. C’est Martine qui si colle. Elle décalotte la bite, la branle vivement, jusqu’à ce que Michel éjacule. Les trois femmes éclatent de rire, en voyant le sperme gicler sur l’herbe.

Voila, Hélène peut passer à la toilette. Elle savonne le gant, et commence à laver les testicules avec le gant de crin. Michel fait la grimace, puis hurle de douleur quand elle lui lave le gland, qu’elle a bien pris soin de décalotter, et qui devient rouge sang. Paulette et Martine le maintiennent fermement.

C’est fini…pas tout à fait. Pour humilier d’avantage Michel, elle lui enfonce le manche du blaireau dans le cul. Michel pousse un cri de douleur.

-Allez, cocu, va rejoindre ta salope de femme.

Entièrement nu, et les mains toujours attachées, Michel arrive à la maison. Francine et Guy ne l’ont pas vu. Du coup, Michel surprend Guy en train d’enfiler sa femme. C’est à ce moment que Francine atteint l’orgasme, et que Guy se vide les couilles dans sa chatte.

-Qu’est-ce que vous faites, enfoirés. Elles avaient raisons les vielles. C’est vôtre faute tout ce qui arrive.

-Hey, calmes-toi, dit Guy. Ce n’est pas ma faute si tu n’arrive pas à baiser ta femme.

-Regardez ces salopes ce qu’elles ont fait à mon petit oiseau…il est tout rouge, ça me cuit. En plus, elles m’ont enfilés le blaireau dans le cul. Enlevez-le…s’il vous plait.

-Mais bien sur, se propose Guy, penches-toi, appuies-toi sur la table. Oh putain, elles te l’ont bien mis, il est bien planté.

-On va bien te soigner, dit Francine en faisant un clin d’œil à son amant.

Elle s’approche, baisse le short de Guy. Elle saisit sa queue, la suce goulument, jusqu’à ce qu’elle atteigne une taille respectable. Lentement, Guy ôte le blaireau, et avant que le petit trou ne se referme, il enfonce son énorme queue, dans le cul de Michel.

-Aie…aie…regarde ce qu’il me fait…il m’encule, j’ai mal…aie….

-Ca va, sourit Francine, moi aussi il m’encule, j’en fais pas tout un flan. Qu’est-ce que tu vas dire quand tu vas être obligé de lui tailler une pipe.

-Ouah, souffle Guy…depuis le temps que j’avais envie de baiser le mari de ma maitresse…tu la sens ma queue dans ton petit trou, c’est bon hein…oh putain, je crache…ah…ah…

-Enfoiré…il me remplit ce salaud…

Francine attend que son amant se soit bien vidé les couilles, puis emmène son mari à la salle de bains, pour le soigner.

-Viens, dit-elle, je vais passer de la pommade au bout de ton petit sifflet.

Guy entend les cris de Michel.

-Aie…aie…ça me cuit…aie…aie…laisse ma quéquette décalottée.

-Ah, tu te calmes, gronde Francine, sinon, je demande à Guy de venir t’enculer.

-Non, non, pas ça…s’il te plait…sa queue est trop grosse…il me fait mal.

-Une pipe alors, tu préfère ? Mais tu avales, ok ?

-Oui, une pipe…promis, j’avalerai tout.

C’est noté.

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Chloé et Jérôme.

Comme tout les dimanches après midi, Chloé et Jérôme, vont promenés au parc, avec, dans leur landau, leur petite fille, âgé de huit mois. Il s’assied toujours sur le mê